Puisaye Forterre 7. Château de Ratilly.
Château de Ratilly .
Le nom de Ratilly -probablement de « ratel », la herse- est cité pour la première fois dans un acte de 1160 concernant le chevalier Renaud de Ratilly. Un château fort aurait été construit dés le XIe siècle, lors de l’établissement de la féodalité en Puisaye. Rasé au niveau des glacis au cours de guerres entre seigneurs, c’est sur ses fondations que Mathieu de Ratilly fait bâtir vers 1270 l’édifice actuel, qui va connaître bien des remous malgré son isolement. Pour plus de renseignements concernant le château voir le lien.
http://www.chateauderatilly.fr/chateau_anc.html
Puisaye Forterre 3 Treigny, Perreuse
Treigny, Perreuse.
Paisible village de la Puisaye vallonnée et verdoyante chantée par l’écrivaine Colette, Treigny possède une intéressante église du XVe siècle et deux châteaux forts : le Château de Ratilly bâti au XIIIe siècle qui domine avec ses six tours le village et la vallée de la Vrille, et le château de Guédelon en construction dans la forêt.C’est également une terre d’élection pour les potiers dont les ateliers exploitent l’argile blanche ou rouge de la région et initient les touristes nombreux à la belle saison.http://fr.wikipedia.org/wiki/Treigny
Paysages de Forterre.
Puisaye Forterre 2. Sainte Colombe sur Loing.
Source du Loing
Il prend sa source à Sainte-Colombe-sur-Loing et arrose la Puisaye et le Gâtinais (dont il constitue en quelque sorte « l’épine dorsale »), passant à Saint-Fargeau, Châtillon-Coligny, Montargis, Nemours et Moret-sur-Loing (peu avant son confluent avec la Seine). Il occupe en réalité le cours de la Loire aux temps géologiques où celle-ci rejoignait la Seine avant d’être contrainte à obliquer vers le sud-ouest à hauteur de la ville actuelle d’Orléans. Ceci explique pourquoi les canaux successifs construits pour relier les deux bassins empruntent la vallée du Loing.Le cours du Loing est resté navigable jusqu’au début du XVIIIe siècle, assurant la subsistance de nombreuses familles (voituriers par eau, mariniers, flotteurs) tout au long de son cours. Les principales marchandises transportées : textiles et surtout sous-produits de la vigne (vin, vinaigre).L’irrégularité du débit du Loing (aujourd’hui oubliée en raison de la construction de nombreux bassins de retenue) a très tôt conduit à la canalisation de son cours, puis à son doublage par des ouvrages d’art : le canal de Briare, au début du XVIIe siècle, quittant la Loire à Briare pour rejoindre le Loing à Rogny et suivant son cours jusqu’à sa jonction, peu après Montargis, avec le canal d’Orléans (aujourd’hui désaffecté) et le canal du Loing (construit dans les années 1720, et qui prend le relais pour suivre la rivière jusqu’à son confluent avec la Seine à Saint-Mammès).
Source documentaire :http://fr.wikipedia.org/wiki/Loing
Puisaye Forterre. 1
Début de la série de photos sur la Puisaye Forterre.
Quelques cartes de la région permettront de situer les sites phototographiés.
Clic gauche pour agrandir les cartes.
Pays de Puisaye-Forterre.
Le Pays de Puisaye-Forterre est un territoire de Bourgogne créé par association de deux territoires, celui de Puisaye et celui de Forterre.Puisaye (Bourgogne) et Forterre. À Treigny et Perreuse, à la frontière géologique entre la Puisaye et la Forterre, on peut observer la grande diversité entre les deux territoires.Le Pays de Puisaye-Forterre, représente 1 663 km², soit un tiers de l’Yonne (en comparaison, le Morvan fait 2 000 km² et un petit département comme l’Essonne fait 1 800 km²). Découpé en 7 cantons (Courson-les-Carrières pour la Forterre, Toucy, Charny, Bléneau, Saint-Fargeau, Saint-Sauveur-en-Puisaye, Saint-Amand pour la Puisaye), le Pays est à cheval sur deux départements, puisque le canton de Saint Amand est Nivernais. Les 69 communes associées constituent une population de 34 601 habitants, dont le solde migratoire positif apporte chaque année de nouveaux habitants issus à 71% de la région parisienne. Jeunes retraités, couples avec enfants, artistes, artisans, mais aussi Anglais ou Néerlandais, ce flux vers la campagne n’est plus du tout anecdotique.Toucy (Yonne) est la ville d’appui du Pays.En mai 2009 est paru aux Editions de Bourgogne un livre intitulé « Il était une fois la Puisaye-Forterre », rédigé par Xavier Lauprêtre et Bernard Lecomte (lien ci-dessous).
http://www.editions-de-bourgogne.com/puisaye-forterre.html
Source documentaire .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pays_de_Puisaye-Forte
Mon lieu de séjour se situait à Saint Sauveur en Puisaye .
Saint Sauveur en Puisaye, ville de culture au patrimoine riche
Saint Sauveur est à la fois une ville riche en « petit » patrimoine historique et une ville de culture. Parfois les deux se mêlent, notamment dans l’oeuvre de Colette, illustre nâtive de notre commune. En effet, elle décrit dans les « Claudine » son village de Montigny qui n’est autre que Saint-Sauveur (voir
Saint Sauveur au temps de Colette). On y découvre sous sa plume la tour sarrasine, le château et ce village qui s’étage du château à la vallée du Loing qui prend sa source non loin de là. Mais la culture à Saint Sauveur n’est pas passéiste et, même si nous célébrons Colette à travers notre musée et nos « journées Colette« , nous savons acceuillir la création contemporaine à travers l’association des Créacteurs en Puisaye ou le projet ambitieux de La Poèterie. Ainsi, tout au long de l’année, à travers la littérature, les expositions et les concerts, Saint Sauveur célèbre la création culturelle.
Source documentaire : http://www.saint-sauveur-en-puisaye.fr/cms/index.php?id=43
La tour Sarrasine.