Nérac et Henri de Navarre.
Photos Septembre 2006
Nérac (en gascon : Nerac) est une commune française, située dans le département de Lot-et-Garonne et la région Aquitaine.
Ses habitants sont appelés les Néracais, Néracaises.
La commune est traversée par la Baïse et est bordée à l’ouest par la Gélise. Ces cours d’eau confluent et la Baïse se jette dans la Garonne à une dizaine de kilomètres au nord.
C’est le chef-lieu d’un arrondissement couvrant le sud-ouest du département.
Ville fleurie : située en Gascogne dans les landes du Lot-et-Garonne sur la Baïse en Pays d’Albret.
L’apogée de la ville se situe au XVIe siècle lorsque les seigneurs d’Albret, qui s’y étaient installés vers le XIe siècle (venant de Labrit, dans les Landes) deviennent rois de Navarre suite au mariage de Jean III d’Albret avec Catherine de Foix en 1484.
Plus tard, Henri de Navarre-Bourbon-Albret devient roi de France sous le nom d’Henri IV, après qu’Henri III soit mort sans descendance (1589). Lorsque les portes de Paris s’ouvrirent à Henri, celles de la renommée se refermèrent pour Nérac.
Biron (Biront en occitan)
Je ne pourrai pas me rendre sur vos blogs pendant ce week-end.
Photos septembre 2006.
Biron (Biront en occitan) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Aquitaine, entre le Périgord et l’Agenais.
Situé dans la vallée de la Lède entre la vallée du Lot et la vallée de la Dordogne.
Elle est connue par son château des XIIe et XVIIIe siècles, classé monument historique.
Siège de l’une des quatre baronnies du Périgord, le château occupe une position stratégique à la lisière du Périgord et de l’Agenais.
Son histoire est liée à la grandeur d’une famille, les Gontaut-Biron, qui tint le fief durant huit cents ans.
À sa création en 1790, la commune porte d’abord le nom de Notre-Dame-de-Biron puis au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), celui de Mont-Rouge, avant de s’appeler Biron.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Biron_(Dordogne)
Château de Biron.
Je ne pourrai pas me rendre sur vos blogs ce vendredi et pendant le week-end.
Photos d’un voyage dans le Lot et Garonne.
Septembre 2006.
Le château se situe dans la vallée de la Lède, dans le Périgord pourpre. Il était le siège de l’une des quatre baronnies du Périgord, avec Beynac, Bourdeilles et Mareuil. Il est la propriété de la famille de Gontaut-Biron qui acquiert par alliance la baronnie de Biron au XIIe siècle, avant d’être pris par les Albigeois en 1211, par Simon IV de Montfort en 1212, et par les Anglais aux XIVe et XVe siècles. Il est érigé en duché-pairie en 1598.
Du XIIe au XVIIIe siècle, chaque siècle a laissé son empreinte, évoquant les vicissitudes de cet édifice monumental :
- donjon du XIIe siècle,
- chapelle à double étage,
- appartements de la Renaissance,
- impressionnantes cuisines voûtées,
- salle des États.
De cette incroyable juxtaposition de bâtiments résulte un ensemble architectural exceptionnel, d’un attrait tout particulier.
En 1978, le département acquiert le château en vue de le restaurer. En 1994 c’est ici qu’on a tourné le film La Fille de d’Artagnan avec Sophie Marceau et Philippe Noiret.
En 2012 ont commencé des travaux de rénovation de la charpente de l’aile des Maréchaux, prévus pour une durée de deux ans et un coût de 2,3 millions d’euros.
Château de Bonaguil.
Photos d’un voyage dans le Lot et Garonne .
Septembre 2006.
Le nom signifierait « Bonne Aiguille » ou « Bonne Eau » et désigne le site défensif
Le château de Bonaguil est situé en France, sur la commune de Saint-Front-sur-Lémance en Lot-et-Garonne à la charnière du Périgord et du Quercy, mais il est la propriété de la commune de Fumel. Le château est classé Monument historique le 18 avril 1914.
Le château de Bonaguil est un des derniers châteaux forts construits. Il est bâti sur un éperon calcaire qui domine d’une trentaine de mètres le confluent de deux étroites vallées, sur un affluent de la Thèze, appelée de trois noms : le ruisseau de Caupenne, la Petite Thèze et ruisseau de Bonaguil. Il détient la particularité de ne pas être sur une position stratégique : le château ne défend pas une ville, ni le passage d’un fleuve, ni une vallée importante ou une route commerciale.
Sa construction débute au XIIIe siècle, puis il est entièrement repris à la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle par le baron Bérenger de Roquefeuil qui lui ajoute tous les perfectionnements défensifs du Moyen Âge finissant. Il intègre à partir de 1480 les derniers perfectionnements de la défense au moyen de l’artillerie tant pour utiliser celle-ci que pour s’en prémunir : imposante barbacane couvrant l’accès au château, canonnières par dizaines tant dans les tours que dans les courtines, chambres de tir casematées (« voûtées ») à l’abri des boulets adverses et permettant des feux bas et rasants, « moineau » casematé interdisant toute circulation au fond du grand fossé, terrasses d’artillerie étagées au pied du corps de place qui constituent autant d’enceintes successives à forcer, aménagement à des fins défensives d’une grotte naturelle située sous l’éperon rocheux.
Source documentaires : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Bonaguil
À son achèvement vers 1510, il apparaît cependant obsolète. En effet, à cette époque du début de la Renaissance, les grandes familles nobles ainsi que le roi et ses proches commencent à construire les premiers châteaux de la Loire et, dans tout le royaume, de nombreuses forteresses médiévales de la petite et moyenne aristocratie, même si elles conservent quelques dispositifs défensifs, sont peu à peu transformées en résidences d’agrément par abattage d’une partie des tours et des courtines afin de les ouvrir sur la lumière et la campagne.
Hormis la perte de ses charpentes pendant la Révolution française, le château de Bonaguil est aujourd’hui dans un bon état de conservation. Il n’eut jamais à subir d’attaque et fut habité jusqu’à la Révolution.
Autres photos dans quelques jours, après un intermède à Binic.
Bossuet dans sa cathédrale .
Jacques-Bénigne Bossuet, (27 septembre 1627 à Dijon – 12 avril 1704 à Paris) était un homme d’Église, prédicateur et écrivain français.
Originaire d’une famille de magistrats, il fut d’abord placé chez les Jésuites de Dijon, qui lui dispensèrent une éducation classique (apprentissage du grec et du latin). Il vint à 15 ans achever ses études à Paris, au collège de Navarre, où il eut pour maître Nicolas Cornet : il y étudia en profondeur la philosophie et la théologie.
En 1681, lorsque l’éducation du dauphin fut achevée, il fut nommé évêque de Meaux (d’où la périphrase « l’Aigle de Meaux », parfois utilisée pour le désigner) et se livra dès lors aux soins de l’épiscopat, fit de fréquentes prédications, rédigea le célèbre Catéchisme de Meaux (1687) et composa pour des religieuses de son diocèse les Méditations sur l’Évangile et les Élévations sur les Mystères.
Oeuvres :
- Exposition de la doctrine de l’Église.
- Discours sur l’Histoire universelle (1681)
- Histoire des variations des Églises protestantes (1688)
- Défense de la Tradition et des saints Pères (1693)
- Maximes et réflexions sur la comédie (1694)
- Explication de la prophétie d’Isaïe (1704)
- La Politique tirée des propres paroles de l’Écriture sainte (posthume) (1709)
- Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même (posthume) (1741)
- Sermons (posthume) (1772)
- Oraison funèbre de Henriette-Marie de France
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques-B%C3%A9nigne_Bossuet
Cathédrale vue depuis le jardin Bossuet .