Plage Bonaparte mise à jour de l’article.
Suite à une question posée par Tao le chat darkcapitaine.unblog.fr ou unattimo.unblog.fr/
une mise à jour de l’article, « Plage Bonaparte » en date du 19 Mars 2007, a été faite ce jour. http://binicaise.unblog.fr/2007/03/19/plage-bonaparte/
Plage Bonaparte.
Plouha, petite station balnéaire de la côte du Goëlo, peut s’enorgueillir de posséder les plus hautes falaises de Bretagne, un site magnifique à découvrir le long du sentier douanier. Les falaises de Plouha constituent sans aucun doute l’un des plus beaux sites sauvages des côtes bretonnes. Il ne faut pas manquer d’emprunter le GR 34 qui permet de rejoindre la pointe de Plouha. A 104 mètres au-dessus du niveau de la mer, elle offre une vue panoramique de Bréhat au Cap Fréhel.Le site, mariage de fougères et d’ajoncs, est particulièrement impressionnant. Les îlots de la Mauve et du Pommier abritent nombre de cormorans, goélands ou encore pétrels fulmars qui s’admirent encore mieux aux jumelles.La plage Bonaparte compte parmi les 24 hauts-lieux de la Résistance Française. C’est d’ici que partirent pour l’Angleterre 135 aviateurs américains et canadiens, dont les avions avaient été abattus.
http://www.bretagne.com/fr/geographie/villes/cotes_d_armor/plouha
Suite à la question posée par Tao le chat, pourquoi Plage Bonaparte…. ce paragraphe est ajouté.
Extraits de Wikipédia :
« Mais Plouha, c’est aussi une histoire beaucoup plus proche.En effet, en novembre 1943, Lucien Dumais et Raymond Labrosse (deux franco-canadiens), viennent organiser et diriger le réseau Shelburn qui a pour but de récupérer les pilotes des avions alliés abattus et de les rapatrier vers l’Angleterre.Ils étaient recueillis un peu partout en France et hébergés dans des familles plouhatines ou des environs, ceci, bien sûr, à l’insu de l’occupant nazi. Avant l’embarquement, 20 à 25 aviateurs étaient regroupés dans la maison (nom de code: Maison d’Alphonse) où habitaient Marie et Jean Gicquel puis acheminés de nuit, par la lande, par des passeurs plouhatins. Ils arrivaient à l’anse Cochat (nom de code: « plage Bonaparte« ) où les attendaient des embarcations légères chargées de les acheminer sur une corvette anglaise qui était mouillée au large »
Morlaix.
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Morlaix se situe au nord du département du Finistère, au confluent de deux rivières, le Jarlot et le Queffleuth, qui forment le Dossen ou rivière de Morlaix. L’estuaire de la rivière de Morlaix, qui fait la séparation entre le Léon (à l’ouest) et le Trégor (à l’est), mesure 10 km de long entre l’écluse et l’embouchure à Carantec. De par cette situation géographique, Morlaix a été le lieu d’importantes innondations de par le passé (en particulier en 1880, 1883, 1925, 1974 et 2000
Viaduc du XIXe siècle pour la ligne de chemin de fer Paris-Brest.
Maisons médiévales à pans de bois.
Dans la Baie de Morlaix, le château du Taureau érigé au XVIe siècle pour défendre la baie, a été remanié par Vauban à partir de 1689 mais il meurt en 1707 avant son achèvement. Le vaisseau de pierre prend alors ses dimensions actuelles : 60 mètres de long, 12 mètres de large et 12 mètres de haut pour une surface bâtie de 1 450 m2. Outre 11 casemates pouvant recevoir chacune un canon, le fort abrite des logements, deux cachots, une cantine, une cuisine et une chapelle. Son dernier prisonnier fut Louis Auguste Blanqui en 1871. Désormais ce fort à la mer, propriété nationale géré par la CCI, est visitable.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Morlaix