Archive pour septembre, 2008

Le Sal ou rivière du Bono

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La vallée du Sal au creux de laquelle coule la rivière du Sal, nommée aussi la rivière du Bono. Cette vallée présente un environnement partagé entre terres salines, vasières et bocage.

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source :  Geoportail.

Photos autour de St Avoye vers les vasiéres.

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Chapelle Saint Avoye.

Saint Avoye

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Le hameau de Sainte Avoye se situe au sud de la commune de Pluneret en bordure de la rivière du Sal. Tout autour de la chapelle, les petites maisons bretonnes contribuent à faire de ce village un endroit vraiment charmant.

La chapelle Sainte Avoye date du 16ème siècle et renferme un jubé d’époque vraiment exceptionnel. Le jubé est une clôture monumentale en chêne enrichie de statues aux couleurs originelles qui sépare le chœur de la nef.

Depuis ce village, il est possible de parcourir une boucle de 4 à 5 kms sur le sentier côtier. L’accès au sentier côtier se situe en bas de la rue qui contourne la chapelle. Le promeneur suivra d’abord un sentier pendant 900 m avant d’atteindre le sentier côtier. Il prendre ce sentier à gauche et longera la rivière du Sal. Les paysages varieront d’une heure à l’autre, et d’un virage à l’autre : paysages maritimes, paysages de marais … des mouettes, des algues, des voiliers, des pins maritimes, … mais aussi des champs marécageux parcourus de sillons qui se vident ou se remplissent au gré des marées. Le retour vers Sainte Avoye apparaît vers la gauche à l’entrée du grand marais. Reste alors à parcourir un chemin de 600 m au milieu des champs.

Source : http://www.location-vacances-bretagne.com/pluneret/saint-avoye.htm

La chapelle Sainte-Avoye (1554-1557).

La première pierre de cette chapelle, située au bord du Sal, fut posée en septembre 1554. La charpente du chœur fut commencée le 10 juin 1557 et celle de la nef le 10 janvier 1560. Une inscription sur les sablières du chœur indique « Le jour de la Croix, en septembre 1554, fut asise la premierre pierre de ceste chapelle Madame Sainte Avoie, et fut assise la premiere piecze de boays le 10e jour de juin 1557. Et fut miseur Missire Yves Le Thominec, curé te ceste paroesse ; Pierre Blanchart fust maîstre maczon, de Henri Le Mailleur fut maistre charpentier ». De plan rectangulaire, d’une belle ornementation Renaissance, l’édifice ne fut jamais entièrement achevé.

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Le porche occidental a été interrompu à la naissance des voûtes. La tour carrée élevée sur le portail occidental, épaulée par de puissants contreforts, a été détruite par la foudre en 1727 et remplacée par une cage en charpente surmontée d’un clocheton. Une tourelle cylindrique, percée d’étroites fenêtres, renferme l’escalier qui montait à la tour.

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Au Sud, une tourelle analogue, mais moins élevée, conduit au jubé. Le portail est divisé en deux baies en anse de panier par un trumeau chargé d’un cul-de-lampe, soutenu par une colonnette engagée, et d’un dais sans statue. Le chœur, partie la plus ancienne de l’édifice, avait une fenêtre, aujourd’hui bouchée, à réseau flamboyant, et tout le reste est de style Renaissance. A la porte Sud, se trouve un blason aux armes des Lestrelin.

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La charpente à sablières et entraits sculptés, remarquable par sa légèreté, est l’œuvre du maître charpentier Henri Le Meilleur (ou Mailleur). On y trouve un jubé qui date du XVIème siècle : il comprend toujours son chancel, sa galerie et le groupe de calvaire couronnant le tout. L’accès du jubé se fait par un escalier de pierre. Le jubé est l’œuvre d’O. Bizeul, dont le nom se lit sur un philactère tenu par un ange. On y trouve également un banc seigneuriale qui date du XVIIème siècle : des armoiries sculptées en bas relief, peut-être celles de la famille de Montigny de Kerisper, ornaient jadis le prie-Dieu. On remarque dans la nef une pierre creusée dite « bateau Sainte-Avoye ». Cette pierre est liée par la tradition populaire à une croyance mêlant les cultes païen et chrétien, selon laquelle les enfants prennent des forces quand on les y dépose. Les vitraux ont été brisés par un ouragan en 1746. Elle renferme de nombreuses couronnes de mariées offertes à sainte Avoye [Cayot-Deslandres, Le Morbihan, ] .

La chapelle : http://www.infobretagne.com/pluneret.htm

La chapelle n’était pas ouverte ce jour là…..

 

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Mystère.

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Le papillon.

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La belle et la bête.

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Baudelaire. L’invitation au voyage.

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L’invitation au voyage

Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D’aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l’ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l’âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l’humeur est vagabonde ;
C’est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu’ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D’hyacinthe et d’or ;
Le monde s’endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Charles BAUDELAIRE

Rhus ou Sumac.

Rhus est un genre d’arbres ou d’arbustes communément appelés sumacs en France ou simmecks par les libanais. Il est composé d’environ 125 espèces présentes dans les régions chaudes et tempérées sauf pour le « vinaigrier » originaire d’Amérique du Nord.

Le nom générique Rhus, en usage chez les Grecs et les Romains, serait d’origine celtique et signifierait « rouge ».

Les plus remarquables sont :

  • le sumac des corroyeurs (Rhus coriaria) qui fournit une espèce de tan,
  • le sumac de Virginie, (Rhus typhina)

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rhus

 

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Cosmos …..

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