Mes euphorbes.
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Les euphorbes sont des plantes dicotylédones de la famille des Euphorbiacées et du genre Euphorbia, ayant toutes en commun de posséder un suc laiteux et d’avoir une floraison en ombelles portant à leur sommet des inflorescences appelées cyathes, composées de deux bractées, de fleurs monoïques et de glandes nectarifères. Elles sont herbacées ou ligneuses selon les espèces. Leur aspect se modifie beaucoup au fil des jours : les feuilles ont tendance à disparaître à mesure que l’ombelle se développe, la tige rougit, tandis que le fruit, capsule globuleuse à trois loges, émerge très rapidement de l’inflorescence. Selon Pline l’Ancien, le mot euphorbia viendrait d’Euphorbus, médecin du roi Juba II de Maurétanie.
Il existe environ 2 300 espèces d’euphorbes.
Pour en savoir plus :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Euphorbe
Anémone pulsatille.
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Je ne suis pas certaine de pouvoir me rendre sur vos blogs…..
L’Anémone pulsatille ou coquerelle (Pulsatilla vulgaris) est une plante herbacée vivace de la famille des Ranunculaceae.
Elle mesure de 10 à 30 centimètres. Les feuilles en rosette sont argentées, velues et pétiolées. Les fleurs sont violet-noir.
Utilisation.
Les fleurs séchées au four et pulvérisées, permettent l’élaboration d’une poudre à éternuer réputée pour chasser les migraines.
Fraîche, cette plante est toxique, caustique et irritante.
La plante apparaît parfois sous le nom Pulsatilla radix, dans certains documents liés à la phytothérapie mais n’est pas un nom scientifique reconnu.
http://fr.wikipedia.org/wiki/An%C3%A9mone_pulsatille
Jose Maria de Heredia. Armor.
Armor
Pour me conduire au Raz, j’avais pris à Trogor
Un berger chevelu comme un ancien Évhage ;
Et nous foulions, humant son arome sauvage,
L’âpre terre kymrique où croît le genêt d’or.
Le couchant rougissait et nous marchions encor,
Lorsque le souffle amer me fouetta le visage ;
Et l’homme, par-delà le morne paysage
Étendant un long bras, me dit : Senèz Ar-Mor !
Et je vis, me dressant sur la bruyère rose,
L’Océan qui, splendide et monstrueux, arrose
Du sel vert de ses eaux les caps de granit noir ;
Et mon coeur savoura, devant l’horizon vide
Que reculait vers l’Ouest l’ombre immense du soir,
L’ivresse de l’espace et du vent intrépide
José Maria de Heredia
Genêt.