Fleurs jaunes
En bouton.
En fleurs.
J’ai vu cette plante à Auray, elle forme des massifs.
Merci à Francoise d’Oleron qui m’a donné son nom : phlomis fruticosa (sauge de Jérusalem) .
Vous pouvez aller sur le blog de Françoise à partir de ce lien :
http://umeamarie.canalblog.com/
Vous découvrirez des photos de la nature absolument extraordinaires.
Seringat.
En promenade à Auray, j’ai vu ce magnifique seringat.
Le seringa (ou seringat) est un arbuste à fleurs qui appartient au genre Philadelphus, de la famille des Hydrangeaceae. Le nom « seringa(t) » vient d’une utilisation ancienne qui consistait à évider les tiges de leur moelle pour en faire des seringues.
Les fleurs, nombreuses, solitaires ou groupées par deux ou trois à l’extrémité des pousses secondaires, sont blanches et apparaissent en mai-juin en répendant un parfum très marqué. Les formes simples sont composées d’une corolle formée de 4 pétales blancs et arrondis 2 fois plus longs que les sépales et de nombreuses étamines à filets blancs et anthères jaunes au centre.
Source Wikipédia.
Photos binicaise à Auray.
Palmier et son fruit.
Palmier à Auray.
Je suis allée ce jour 9 Mai, chez des amis qui ont un palmier semblable et je peux vous donner son nom :
Trachycarpus fortunei, Chamaerops excelsa ou palmier chanvre
Scènes de jardin Mai 2007.
Nous sommes lundi 7 Mai, la pluie vient de tomber, la pelouse est fraichement tondue …..
Les photos ont été prises de la fenêtre de la cuisine
ou de la porte d’entrée.
Théodore de Banville, Sieste.
SIESTE
La sombre forêt, où la roche
est pleine d’éblouissements
et qui tressaille à mon approche,
murmure avec des bruits charmants.
Les fauvettes font leur prière ;
la terre noire après ses deuils
refleurit, et dans la clairière
je vois passer les doux chevreuils.
Voici la caverne des fées
d’ où fuyant vers le bleu des cieux,
montent des chansons étouffées
sous les rosiers délicieux.
Je veux dormir là toute une heure
et goûter un calme sommeil,
bercé par le ruisseau qui pleure
et caressé par l’ air vermeil.
Et tandis que dans ma pensée
je verrai, ne songeant à rien,
une riche étoffe tissée
par quelque rêve aérien,
peut-être que sous la ramure
une blanche fée en plein jour
viendra baiser ma chevelure
et ma bouche folle d’ amour.
avril 1842.
Théodore de Banville. Les Cariatides
