C’est beau un blog qui fonctionne….
C’est beau un blog qui fonctionne, depuis hier quelques soucis ont fait que mon blog a eu triste mine pendant quelques temps….je remercie les visiteurs qui malgré ces aléas restent fidèles à ce blog.
Je m’absente quelques jours mais j’ai programmé pour vous des articles qui devraient paraître au fil des jours. Je répondrai à vos commentaires dés mon retour.
A bientôt. Binicaise.
Premier jour du Printemps.
Aujourd’hui j’ai commencé mon blog avec : Vive le Printemps et là étonnement quelques commentaires très gentils disant que j’étais en avance , vérification sur mon calendrier 20 Mars Printemps. que faire, chercher et bien ce n’est pas si simple…..bien sur…. voici les réponses.
Premier jour du Printemps
Le printemps légal commence à l’instant où le soleil dans sa ronde annuelle passe l’équateur céleste en montant.
- Solstice d’hiver : 22 décembre 2006 à 00 h 23 TU
- Équinoxe de printemps : 21 mars 2007 à 00 h 08 TU
- Solstice d’été : 21 juin 2007 à 18 h 07 TU
- Équinoxe d’automne : 23 septembre 2007 à 09 h 52 TU
- Solstice d’hiver : 22 décembre 2007 à 06 h 08 TU
Certains calendriers consultés indiquent 20 Mars 2007 , le site astrosurf.com le 21 Mars 2007 à 00 h 08 TU, le décalage horaire ne serait-il pas la cause de cette divergence.
Dans les faits le Printemps a décidé de différer son arrivée.
Plage Bonaparte mise à jour de l’article.
Suite à une question posée par Tao le chat darkcapitaine.unblog.fr ou unattimo.unblog.fr/
une mise à jour de l’article, « Plage Bonaparte » en date du 19 Mars 2007, a été faite ce jour. http://binicaise.unblog.fr/2007/03/19/plage-bonaparte/
Impression de Printemps, Poème de Verlaine.
Impression de printemps
Il est des jours – avez-vous remarqué ? -
Où l’on se sent plus léger qu’un oiseau,
Plus jeune qu’un enfant, et, vrai ! plus gai
Que la même gaieté d’un damoiseau.
L’on se souvient sans bien se rappeler…
Évidemment l’on rêve, et non, pourtant.
L’on semble nager et l’on croirait voler.
L’on aime ardemment sans amour cependant
Tant est léger le coeur sous le ciel clair
Et tant l’on va, sûr de soi, plein de foi
Dans les autres, que l’on trompe avec l’air
D’être plutôt trompé gentiment, soi.
La vie est bonne et l’on voudrait mourir,
Bien que n’ayant pas peur du lendemain,
Un désir indécis s’en vient fleurir,
Dirait-on, au coeur plus et moins qu’humain.
Hélas ! faut-il que meure ce bonheur ?
Meurent plutôt la vie et son tourment !
Ô dieux cléments, gardez-moi du malheur
D’à jamais perdre un moment si charmant.
Verlaine.
Plage Bonaparte.
Plouha, petite station balnéaire de la côte du Goëlo, peut s’enorgueillir de posséder les plus hautes falaises de Bretagne, un site magnifique à découvrir le long du sentier douanier. Les falaises de Plouha constituent sans aucun doute l’un des plus beaux sites sauvages des côtes bretonnes. Il ne faut pas manquer d’emprunter le GR 34 qui permet de rejoindre la pointe de Plouha. A 104 mètres au-dessus du niveau de la mer, elle offre une vue panoramique de Bréhat au Cap Fréhel.Le site, mariage de fougères et d’ajoncs, est particulièrement impressionnant. Les îlots de la Mauve et du Pommier abritent nombre de cormorans, goélands ou encore pétrels fulmars qui s’admirent encore mieux aux jumelles.La plage Bonaparte compte parmi les 24 hauts-lieux de la Résistance Française. C’est d’ici que partirent pour l’Angleterre 135 aviateurs américains et canadiens, dont les avions avaient été abattus.
http://www.bretagne.com/fr/geographie/villes/cotes_d_armor/plouha
Suite à la question posée par Tao le chat, pourquoi Plage Bonaparte…. ce paragraphe est ajouté.
Extraits de Wikipédia :
« Mais Plouha, c’est aussi une histoire beaucoup plus proche.En effet, en novembre 1943, Lucien Dumais et Raymond Labrosse (deux franco-canadiens), viennent organiser et diriger le réseau Shelburn qui a pour but de récupérer les pilotes des avions alliés abattus et de les rapatrier vers l’Angleterre.Ils étaient recueillis un peu partout en France et hébergés dans des familles plouhatines ou des environs, ceci, bien sûr, à l’insu de l’occupant nazi. Avant l’embarquement, 20 à 25 aviateurs étaient regroupés dans la maison (nom de code: Maison d’Alphonse) où habitaient Marie et Jean Gicquel puis acheminés de nuit, par la lande, par des passeurs plouhatins. Ils arrivaient à l’anse Cochat (nom de code: « plage Bonaparte« ) où les attendaient des embarcations légères chargées de les acheminer sur une corvette anglaise qui était mouillée au large »