Reflexion sur l’écologie…..
Ecologie 40 ans après.
Au cours d’une conversation sur les problèmes écologiques, le souvenir d’un journal que je lisais, il y a fort longtemps, m’est revenu en mémoire, il s’agissait du magazine « Le Sauvage »
Une recherche effectuée sur Internet m’a permis de remonter dans l’histoire de l’écologie en France.
Il ne s’agit que d’un extrait et d’une référence.
C’est une information qui m’a donné à sourire jaune, « où en est-on aujourd’hui »….., des progrès ont été accomplis, mais une vraie prise de conscience commence seulement à ne plus faire sourire.
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Extraits de l’article paru dans : http://www.politis.fr/article1047.html le
jeudi 2 septembre 2004. Le lien vous permet, si vous le souhaitez de voir
l’intégralité de l’article.
Dossiers :
Aux origines de l’écologie, par Jean-Paul Deléage.
Un extrait de l’ouvrage « Histoire des gauches en France »
« …….Les années 1960, qui s’achevèrent avec les événements de 1968, connurent aussi les prémices d’un mouvement écologiste en France, exclusivement associatif à ses débuts. 1968 catalysa la rencontre de plusieurs courants et mit en scène de nouvelles formes de contestation. C’est en 1968 que fut créée la Fédération des usagers des transports de la région parisienne (FUT). En 1969, la Fédération française des sociétés de protection de la nature (FFSPN) regroupa la Société nationale de protection de la nature, la Ligue de protection des oiseaux et des dizaines d’autres associations à vocation locale ou régionale. Les Amis de la Terre furent fondés en 1970 avec Brice Lalonde.
Ce fut aussi une période de profusion de publications alternatives et écologistes, dont la plus sérieuse, les Cahiers de Mai, resta assez confidentielle, contrairement aux magazines à succès Hara-Kiri-Hebdo, la Gueule ouverte, le Sauvage, l’Agence de presse de réhabilitation écologique (APRE). La succession fiévreuse des périodes d’enthousiasme et d’abattement marqua cette presse ainsi que l’absence de continuité dans la recherche de structures théoriques solides, selon la fameuse formule de Pierre Fournier, « grande gueule » consacrée de ce journalisme postgauchiste : « Où on va ? J’en sais rien, mais on y va. »
En 1975, Alain Hervé annonça que son journal, le Sauvage, qui s’adressait au lectorat du Nouvel Observateur, renonçait à accompagner jusqu’à sa perte un monde fini et préférait enseigner à ses lecteurs comment déceler les signes annonciateurs de la société écologique, après que la Gueule ouverte eut décidé qu’« en raison de la crise, la fin du monde était ajournée » .
Ce fut cependant autour d’objectifs concrets que se construisit progressivement le mouvement écologiste. Ainsi, en 1972, près de 10 000 personnes participèrent à la première manifestation en vélo à Paris, à l’appel des Amis de la Terre ; en mai, ils furent plus de 10 000 à Fessenheim contre la construction de la centrale nucléaire sur le Rhin, 20 000 le 14 juillet à Rodez pour protester contre l’extension d’un camp militaire. En 1973, la mobilisation fut nationale en faveur des ouvriers de l’usine LIP, où le PSU comptait de nombreux adhérents, et les idées majeures de la mouvance écologiste et alternative s’enracinèrent en France. Une manifestation sur le Larzac réunit 60 000 manifestants les 25 et 26 août 1973. Dès lors, le Larzac devint la région symbolique d’une lutte récurrente pour l’alternative, qui se nourrissait aussi de la nostalgie d’un passé rural déjà perdu……. »
Il ne s’agit que d’une constatation……!!!
Du temps s’est écoulé depuis, les problèmes sont restés.
Quelques liens :
http://www.energies-renouvelables.org/
http://www.bretagne-eau-pure.org/page.php?P=static/accueil/
http://www.amisdelaterre.org/
re bonjour Jacqueline,
merci pour ces liens, dire que déjà en 1969, alors que l’homme allait sur la lune, on parlait déjà du danger. Comment avons-nous pu passer à côté de tous ces gens qui savaient que le danger nous guettait, je me demande encore comment nous n’avons pas vu venir le danger qui se fait jour parce que les abeilles meurt par milliers. Ce qui m’a donné conscience de ce problème c’est qu’en Suisse, l’autre jour, je lisais que plus de 50 % des abeilles étaient mortes en 2012 et que la constatation était très inquiétante. Concernant le Bio, nous avons de la chance en Suisse, le Bio n’est pas beaucoup plus cher que le non Bio, un exemple, un citron Bio est 70 cts alors qu’un autre est 60 cts, alors pour 10 cts de différence le choix est vite fait. les légumes et fruits Bio n’ont que peu d’écart en prix. La viande, il suffit de l’acheter chez le paysan du coin pour avoir le prix même moins cher que le supermarché. Nous avons en Suisse, des gens à la tête de notre pays qui font en sorte de ne pas nous envoyer trop dans le mur.C’est peut-être plus facile pour un petit pays comme le nôtre que pour un grand pays comme la France, je ne sais pas, mais ce qui m’étonne le plus, c’est que les partis verts n’aient pas plus de voix lors des élections en France. Il est vrai que les verts ont vraiment mal choisi leur candidat (te) pour la présidentielle, enfin, cela n’engage que moi..(sourire)
Merci encore pour tout ce que tu m’apportes dans mes réflexions.
Gros bisous, Helene
Dernière publication sur air du temps : Un cri d'amour !
La terre est assimilée à un corps: ses océans et ses cours d’eau sont ses vaisseaux sanguins, et l’atmosphère ses poumons. Une telle personnification de la terre en tant qu’être cosmique lui donne d’emblée un caractère plus sacré à nos yeux: les ravages causés à la forêt tropicale (j’ai vu!), entre autre deviennent une étape déterminante de destruction, qui revient à resserrer nous-mêmes la corde qui nous étrangle.
« Vous et moi et tout ce qui se trouve dans l’univers faisons partie du flot infini de l’amour divin. En comprenant cela, nous reconnaissons que cette même bienveillance lie tout ce qui a été créé. Lorque nous sommes en accord avec la vie, nous entrons en harmonie avec l’aspect de Dieu qui influe en toute chose. Que toute vie soit entretenue et protégée est à la fois notre mission et notre prière ». Morihei Ueshiba.
« L’homme moderne parle souvent du combat contre la nature, oubliant que s’il gagnait, il serait du côté des perdants ». Ernst F. Schumacher.