Poème de Victor Hugo
Mes deux filles
Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe,
L’une pareille au cygne et l’autre à la colombe,
Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur!
Voyez, la grande soeur et la petite soeur
Sont assises au seuil du jardin, et sur elles
Un bouquet d’oeillets blancs aux longues tiges frêles,
Dans une urne de marbre agité par le vent,
Se penche, et les regarde, immobile et vivant,
Et frissonne dans l’ombre, et semble, au bord du vase,
Un vol de papillons arrêté dans l’extase.
La Terrasse, près Enghien, juin 1842.
Les contemplations Victor Hugo
pourries vous m’expliquer le sens de la dernière phrase ?
Bonsoir,
C’est un très beau poème, et comme il devait adorer ses deux filles.
Bonne nuit et bonne journée pour demain,
Amicalement
Tritriva
son notre filles est adèle
moi je le connait puisque je fais un commentaire dessus et je cherches le nom de son autre fille mis a part leopoldine qui mourrut noyée
moi non plus je ne connaisser pas ce poeme
Je ne connaissais pas ce poème. Très doux.
Bises. Fleur de Sel
Dès les premiére lignes j’ai reconnu ce cher Victor!
Il parlait si bien de ses filles..
Bisous
Dernière publication sur C'est chez moi! : Au revoir...
le pauvre victor hugo, il n’a pas eu de chance…
je crois qu’il avait une fille qui s’appelait appoline ? qui est morte noyée avec son mari…
et l’autre adèle qui est devenue folle
je te fais un gros bizzooo patoo
Je ne connaissais pas ce poème de Victor Hugo ou bien l’ai-je oublié ? en tous cas, merci.
Bisous à toi Gibi